Plusieurs îles et une partie du littoral breton sont submergés. À Molène, l’eau recouvre les champs et les rend stériles.
Sur l’île de Sein, les habitants échappent au raz de marée en se réfugiant sur le toit des maisons. Les terres agricoles de l’île de Balanec resteront stériles quatre ans après leur recouvrement par l’eau de mer lors de la tempête.
Sur toute la côte, des barques au mouillage sont détruites, des quais endommagés, des terres inondées. En pays Bigouden, en baie d’Audierne, la mer par endroit s’avance de deux kilomètres dans l’intérieur des terres.